The Rider vol. 1, 2021
The Rider Vol. 1 s'inscrit dans la suite des thèmes développés dans la série précédente, "The Blow" (2019) dans laquelle une boxeuse était le personnage central. "The Blow" est une allégorie autour des combats auxquels les humains et plus particulièrement les femmes sont confrontés.
The Rider évoque les relations complexes entre une cavalière et son cheval. Une confiance réciproque est un élément indispensable au lien qui les unit. Parfois ils ne font qu'un, liés par le confiance et le respect. Ils suivent un chemin qui demande de la persévérance et l'abandon de la peur - pour les deux protagonistes.
The Blow, 2019
The Blow, une série qui parle de résilience et de l'importance de la confiance en soi.
She could have been a cowboy, 2018
Dans cette nouvelle série, Anja Niemi poursuit son enquête sur l’identité. A travers ce nouveau personnage, elle s’intéresse aux contraintes liées au modèle social dominant. La femme est enfermée dans une robe rose alors qu’elle aurait voulu être un cow-boy, parcourant le Far West sur des poneys sauvages, en chemises à carreaux et pantalons de cuir à frange.
« Cette histoire n’est pas celle d’un cow-boy. C’est l’histoire de quelqu’un qui veut être quelqu’un d’autre ». Anja Niemi.
Comme toujours, Anja s’est mise dans la peau de son personnage. Seule au volant d’une voiture de location, habillée en cow-boy, elle a parcouru l’Ouest américain, s’arrêtant au gré de ses envies pour photographier les lieux mythiques, randonner dans les parcs nationaux et monter à cheval sur les lieux de tournage d’un film de John Wayne.
The woman who never existed, 2016
« Loin de la scène je n’existe pas » affirmait Eleonora Duse - comédienne italienne qui a côtoyé Sarah Bernhardt au début du 20ème siècle : c’est de ces mots qu’est née cette série exposée pour la première fois à Paris dans nos murs en mars 2016.
Ici la photographe raconte une histoire. Celle d’une actrice qui n’existe qu’à travers la présence et le regard de son spectateur. Lorsque celui-ci n’est plus, elle disparaît aussitôt.
Cette série a remporté un grand succès, très peu de tirages sont encore disponibles.
Darlene & Me, 2014
Le double, théorisé par Freud, joue deux rôles dans l'appréciation de notre identité : d'abord il fait partie du désir de l'enfant d'être multiple avant que l'ego ne soit établi; puis en tant que superego, la voix critique qui habite chacun de nous. [...]
Le niveau de violence interne entre les personnalités de Darlene and me évoque les tendances auto-destructives de Madeleine/Judy, interprétée par Kim Novak dans le Vertigo et Hitchcock, et le personnage de Elisabeth/Alma dont les frontières floues se fondent dans Persona de Bergman.
Max Houghton
Starlets, 2013